mardi 25 mars 2014

CLV ~ Could we just... maybe... No ?

Do you mean… talk about the money I’ve been spending lately, while I should keep it for my future serious adult independant life ?

Quelques nouvelles.

Tout d’abord, comme promis, MOI AUSSI JE L’AI VU, tire li lalalère, Néron est rond petit patapon, j’ai été voir Only Lovers Left Alive, et c’était fantastique, contemplatif comme j’adore, avec de la musique qui transporte. J’attends avec impatience la sortie de Real (demain !), avec Ayase Haruka, actrice que j’ai aimée dès que je l’ai vue jouer (dans Hotaru no Hikari et Mr. Brain entre autres).

Il faut que je regarde cette série à nouveau.
Je suis contente à l’idée qu’elle puisse commencer une carrière internationale, d’autant que le synopsis de Real semble vraiment sympathique (l’amant d’une jeune dessinatrice tombée dans le coma après une tentative de suicide plonge dans son inconscient afin d’essayer de la ramener à la réalité).
Mais mon plus beau souvenir cinématographique de ces dernières semaines reste la projection de Phantom of the Paradise, mon film préféré de tous les films du monde, dans quelques salles de cinéma parisiennes. Du coup je suis maintenant retombée dans une obsession de cette décadence kitsch 70’s. J’écoute la bande-originale en boucle et je m’achète du Gunne Sax pour le porter avec mes plateformes Meta et du jasmin trop odorant dans les cheveux.

Ma future Gunne Sax. Et de quatre pièces de cette marque dans ma garde-robe !

En parlant de fleurs, j’attends ceci aussi… du Vivienne…
Et j’ai gagné une veste parme au travail… Merci à l’équipe du casting qui donnait certains de ses vêtements.
Je vais visiter un appartement ce soir, j’espère que ça sera concluant. Même si j’aime bien regarder Kamen Rider en dînant avec Clafou-Chloé, rien ne vaut un chez-soi.

Pour finir, je porte plein de bagues à mes doigts, que j’ai achetées chez Les Fleurs
… alors que mars explose…

vendredi 21 mars 2014

CLIV ~ L’envol.

Les dernières émotions les plus fortes que j’avais ressenties de mon existence apparurent alors que l’on survolait la Chine, en rentrant du Japon. Je me souviens de cette lassitude immense qui m’a envahie, ce dégoût de la vie qui allait reprendre son cours, ce vide qui s’insinuait lentement dans chaque pensée après qu’une expérience si puissante, un projet si important, venait de prendre vie et fin en un instant trop bref. 
J’ai imaginé la chute, longtemps. Plus de quatre heures durant. La fatigue du voyage, la tension causée par la peur de l’avion renforçaient ce sixième sens curieux, la perception du pire. Je sentais le sol m’attirer irrésistiblement, la machine fondre vers la terre de plus en plus rapidement, intensément ; je croyais entendre des cris, je croyais que le cœur allait me sortir de la bouche tant il tambourinait contre mes côtes, avec toute la violence dont est capable un être impuissant, brouillant ma vision, altérant mon jugement, ne me laissant sentir que la fin inévitable… Je maintenais les paupières closes pour mieux visualiser l’ultime épreuve, mais alors que j’essayais de me représenter une bonne fois pour toutes le néant commun à tout atome de pensée humaine, le cri primordial remonta le long de ma gorge, fulgurant, furieux, fiévreux ; l’instinct de survie broyait les attraits du Rien, et je rouvrais les yeux, extatique après toute cette souffrance, pour découvrir avec un émerveillement d’autant plus puissant qu’il était fragile la délicate dentelle de lumières de la nuit shangaïenne. 

Je ne conçois pas le vide. Je ne le comprends pas. L’avion n’est qu’une pâle représentation de l’angoisse plus profonde, celle de devenir insensible, de ne plus penser, sans jamais pouvoir le concevoir. Tout donner et tout reprendre, ce cruel lot attribué au mortel

J’essaie d’être reconnaissante dès que je le peux. Je souris aux étoiles, salue les fleurs, savoure l’eau chaude qui coule le long de mon dos, reste éveillée tard dans la nuit pour entendre le chant des premiers oiseaux, regarder les premiers rayons du soleil, et filer sous la couette douillette, les muscles douloureux de ma lutte contre le sommeil. Ma soif d’apprendre n’a d’égale que ma soif de contempler, mais peu de joie dans cette dernière, surtout du regret. Mon amour de vivre n’est qu’un long et déchirant adieu. Tout s’achève. 

CLIII ~ Nous avons célébré le printemps chez Voriagh.

Après avoir lamentablement raté les deux dernières soirées de la marque Voriagh, je me suis rendue avec un plaisir certain à celle-ci, la spring party ! Sympathique façon de célébrer ce qui, avec toute la candeur du monde dans le cœur, est le meilleur moment de l’année : la fin du mois de mars. 



Comme en juin dernier, j’ai pris des photos de nourriture, du décor, mais cette fois-ci, de gens, aussi. Et même d’amis. C’est là où je réalise comme j’ai évolué, depuis que je tiens ce blog. 

N’est-ce pas, Angeline. Non mais regardez-moi ce visage de Madone, tellement Renaissance.
Bref, ce fut une nouvelle fois l’occasion de manger en regardant de beaux vêtements, tout en papotant et en caressant Jean-Pierre, ma nouvelle veste signée Voriagh, curieusement. Pour notre venue, nous avons reçu chacune un petit sachet comprenant des graines, à planter chez soi. J’ai trouvé cette attention tellement jolie !

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La boutique était bondée, mais on a courageusement tenu bon, à l’image de ce regard plein de force et de vaillance que jette Angeline à mon objectif sur l’extrême-gauche de cette image.
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Les délicieux cupcakes de la soirée. Vegan, qui plus est.
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Clothilde qui essaie un bandeau.
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Un bandeau violet fabriqué sur le tissu d’un sari. Autant vous dire que je vais vraisemblablement craquer dans le courant des semaines à venir.
Charlotte, la superbe Charlotte, que je suis vraiment heureuse de pouvoir compter parmi mes amies parisiennes.
Nos jumelles de robe Voriagh.
J’en ai fini avec les photographies plus ou moins sérieuses, dès lors je ne peux que vous inviter à aller faire un tour au 47 boulevard Henri IV, sous réserve, évidemment, que vous aimiez le noir et les beaux bijoux. Sur ce…

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…voici ce que je portais pour l’occasion.

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Robe Mary Magdalene, veste Voriagh, chaussures Metamorphose (my beloved), coiffe faite main, bijoux qu’on ne voit pas Vivienne Westwood et fleur de corsage Clafou Tea.
Mes gros soucis personnels m’empêchent d’avoir accès autant que je le souhaiterais à ma garde-robe, alors j’ai composé en une demi-heure avec ce que j’avais sous la main. Le printemps chez Voriagh, le noir et les fleurs, et voici Perséphone, qui quitte les Enfers pour rejoindre la terre bourgeonnante ! J’avais déposé un voile de dentelle noire sous mes fleurs pour figurer le deuil, et Jean-Pierre-la-veste se muait en un reste de Cerbère qui accompagnait sa reine au seuil du monde mortel. Un peu tiré par les cheveux sans doute, mais qu’importe, l’idée était plaisante.

jeudi 13 mars 2014

CLII ~ Laissez-moi ouvrir les bras, et engloutir l’univers.

 
Millions, millions, et millions d’étoiles !
Je suis, dans l’ombre affreuse et sous les sacrés voiles,
La splendide forêt des constellations.
C’est moi qui suis l’amas des yeux et des rayons,
L’épaisseur inouïe et morne des lumières,
Encor tout débordant des effluves premières,
Mon éclatant abîme est votre source à tous.
Ô les astres d’en bas, je suis si loin de vous
Que mon vaste archipel de splendeurs immobiles,
Que mon tas de soleils n’est, pour vos yeux débiles,
Au fond du ciel, désert lugubre où meurt le bruit,
Qu’un peu de cendre rouge éparse dans la nuit !
Mais, ô globes rampants et lourds, quelle épouvante
Pour qui pénétrerait dans ma lueur vivante,
Pour qui verrait de près mon nuage vermeil !
Chaque point est un astre et chaque astre un soleil.
Autant d’astres, autant d’immensités étranges,
Diverses, s’approchant des démons ou des anges,
Dont les planètes font autant de nations ;
Un groupe d’univers, en proie aux passions,
Tourne autour de chacun de mes soleils de flammes ;
Dans chaque humanité sont des cœurs et des âmes,
Miroirs profonds ouverts à l’œil universel,
Dans chaque cœur l’amour, dans chaque âme le ciel !
Tout cela naît, meurt, croît, décroît, se multiplie.
La lumière en regorge et l’ombre en est remplie.
Dans le gouffre sous moi, de mon aube éblouis,
Globes, grains de lumière au loin épanouis,
Toi, Zodiaque, vous, comètes éperdues,
Tremblants, vous traversez les blêmes étendues,
Et vos bruits sont pareils à de vagues clairons,
Et j’ai plus de soleils que vous de moucherons.
Mon immensité vit, radieuse et féconde.
J’ignore par moments si le reste du monde,
Errant dans quelque coin du morne firmament,
Ne s’évanouit pas dans mon rayonnement.

Victor Hugo L’Abîme ~ La Voie lactée.

mercredi 5 mars 2014

CLI

Je ne m’attendais pas à ce que mes vacances se passent aussi bien. Je rencontre des gens formidables (Célia, Mi, je vous aime), et nous sommes en mars. 
Laissez-moi vous parler un peu de ma passion pour le mois de mars, avant de vous laisser tranquille pour les 26 prochains jours. En mars, tout se dérègle brusquement, la pluie tombe et disparaît subitement dans un nuage de brume, sous un grand soleil. La lumière diffuse des teintes dorées et non plus seulement blanchâtres, et les ciels prennent du relief ; les nuages sont creusés d’ombres que viennent mordre les couchers de soleil dans des couleurs de plus en plus sanglantes. Et ces odeurs… ! La terre se réveille lentement, et après la pluie le sol urbain semble gorgé de parfums humides qui rappellent les herbes et les fleurs. Tout est en émoi, et moi aussi (et cette phrase est aussi vraie que son homophonie est mauvaise ainsi qu’usée jusqu'à la moelle).
Bref, je suis heureuse. Lundi, en deux heures dans les rues, je me suis retrouvée sous deux averses, un grand ciel bleu sur ma droite et un nuage d’encre sur ma gauche ; je marchais entre deux mondes mais il pleuvait dans l’un et dans l’autre. Et pour fêter les mille jeux de lumières auxquels j’ai assisté, émerveillée entre deux gouttes, j’ai acheté une religieuse au chocolat.

Cette magnifique transition me sert de prétexte pour exhiber mon service Usakumya complet depuis la dernière TP.
J’ai reçu le dernier GLB aussi, grâce auquel j’ai appris l’existence d’une future robe Juliette et Justine sans laquelle je ne me vois plus vivre, la Chimère de Dentelle (c’est beau, hein).

On ne voit pas grand chose, mais au moins le principal : belle dentelle et tutu.
Donc oui, après la Lune d’eau pour laquelle j’avais poussé de violents soupirs (qui s’étaient évanouis aussi sec après avoir réalisé que les phases de la lune étaient accompagnées de leur nom en japonais dans une typographie qui ne m’inspirait rien de bon), J&J joue encore avec mon désir en sortant une robe qui colle exactement à tout ce que j’aime en ce moment, la dentelle, le vaporeux, et la chimère. 35 000 yens la chimère, d’ailleurs. Va commencer un long dialogue avec moi-même, surtout que j’essaie de me payer un abonnement à l’opéra pour l’an prochain, et qu’il me faudrait passer le permis. Et partir en voyage.

Si j’habitais dans une grotte sans rien savoir de rien, au moins, je ne serais pas aussi frustrée.

Pour en finir avec ce GLB, j’ai réalisé que cela fait deux numéros qu’un mannequin de Larme que j’aime beaucoup pose en lolita (Risa), et que ça lui va plutôt bien.

Midori et Risa.
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Et une photo de l’oratoire de la rue de Rivoli prise lundi dernier au Biscuit qui n’a pas grand chose à voir avec le reste mais que j’avais envie de mettre ici, alors voilà.
J’ai pu profiter de mes vacances pour aller voir quelques expositions (le Surréalisme et l’Objet au centre Pompidou qui était franchement bien et celle dédiée à Gustave Doré au musée d’Orsay que j’ai pour le coup franchement adorée, je connaissais très peu le peintre par rapport à l’illustrateur et j’ai été plusieurs fois profondément bouleversée par sa maîtrise technique et la finesse avec laquelle il met en scène ses tableaux. La façon dont la lumière s’incarne sous son pinceau est à tomber coi tant elle est subtile et bien pensée. Celui qui m’a le plus marquée est son Aigle noir de Prusse, un camaïeu de gris et de noirs, un jeu de lumière incroyable dont il m’a été impossible de retrouver une seule photo sur le Net qui lui fasse justice. Je retiens une petite Annonciation aussi, touchante dans son apparente simplicité, et ses paysages, et ses Christs, et tant d’autres choses encore…).
Par contre j’avais décidé de regarder un film par jour durant ces vacances et j’ai lamentablement échoué, juste Nosfératu la semaine dernière entre deux surchauffes de mon PC, mais je voulais aller voir le J. Jarmusch et le W. Anderson tant qu’ils étaient au cinéma aussi… D’autant que tout le monde parle du Jarmusch sur Facebook, c’est frustrant, on a compris qu’il était formidable, non mais. J’en suis arrivée à un point où j’ai hâte d’y aller aussi de mon petit message de vaine victoire, MOI AUSSI JE L’AI VU, tire li lalalère, Néron est rond petit patapon.



Et sans transition, voici ma tenue de lundi dernier. Cela faisait longtemps qu’elle me trottait dans la tête, mais je trouvais les manches trop courtes sur moi, donc je voulais rajouter un rang de dentelle, mais après une longue réflexion (qui aura duré plusieurs mois), je me suis dit que c’était très bien comme ça.

Du coup on ne voit pas le devant de la veste, mais toutes mes photos du devant sont floues. Damn.
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Comme ça on voit un peu le devant de la veste.
Rapide rundown : Robe et serre-tête AatP (ma Horoscope d’amour), veste Lusty’n Wonderland, collier Schwartz Schmetterling, collants Calzedonia, chaussures Mango et boucles New Look. Vous savez tout.

Lui, c’est juste parce que j’ai réalisé qu’il n’y avait aucune photo d’angel cake sur ce blog alors que je dois bien en manger un toutes les deux semaines depuis plusieurs mois.

dimanche 2 mars 2014

CL ~ Tea Party, Baby ! (again, and again, and again...)


Hier, premier jour du meilleur mois de l’année (l’euphorie de mars vient de commencer… !), premier gros événement lolita de 2014, la traditionnelle tea party d’hiver. J’ai voulu en profiter au maximum car il semblerait que celle-ci soit la dernière, mais… ! ne brisons pas tout de suite le flot de joie et de belles tenues qui va suivre.

J’avais rendez-vous chez Chloé-Kourai pour me préparer avec Sarah (je comptais sur leur aide pour me boucler les cheveux), ce fut un peu la panique car je ne retrouvais pas mes chaussettes (et je tiens ici à réparer une injustice en précisant que j'ai accusé à tort l’Ohm de les avoir prises sans le faire exprès, tout en sachant qu'à ce jour je ne les ai pas encore retrouvées. Le feuilleton continue.) Mais tout va bien, Sarah m’a prêté des soquettes, je suis arrivée en avance au rendez-vous, et j'ai eu les cheveux bouclés.

Dix minutes. (Le cheveu qui se recoiffe tout seul, je devrais déposer un brevet.)

Comme nous sommes douées, nous sommes arrivées une heure trop tôt, croyant que la TP commençait à 15 heures au lieu de 15 h 30, mais nous étions en fort bonne compagnie comme Lullaby Queen et Solène étaient elles aussi en avance. J'ai donc sorti mon Biscuit pour passer le temps (oui, oui…)


Une Kourai mal cadrée et quelques passants qui vous donnent une idée de l’ambiance zoologique dans laquelle nous nous trouvions.
Je suis toujours aussi atterrée par le manque de savoir-vivre de certaines personnes qui se fichent juste en face de vous avec un grand sourire et vous photographient sans même demander votre permission. Hier nous avons eu droit à un attroupement d’une bonne vingtaine de personnes qui se tenait devant nous, appareil à la main, commentant et bombardant allègrement leurs souvenirs de Paris d’images de lolitas en train de bavarder tranquillement sur un banc. Pourquoi pas. Mais rechercher notre consentement est donc si difficile ?

Les participants arrivent, c’est le moment de sortir l’artillerie lourde, avec Sam qui inaugure magnifiquement les photos sérieuses de cette TP, et Tro-Tro qui la juge tout aussi superbement.
Bêtes à plumes et à fourrure.
D’adorables fossettes.
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Sorcière Pom et Blanche-Lucie.
La salle était la même que l’an passé, parfois j’avais cette impression de déjà vu comme si seulement quelques secondes s’étaient écoulées entre le moment où s’achèvent mes souvenirs d’antan et celui où débutent mes souvenirs de ce mois de mars. Douce nostalgie.

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FOOD
MORE FOOD
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SUGAR OVERDOSE
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NO SUGAR NO
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Ispahan mon amour (rose-litchi-framboise).
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Le dessert de princesse Clafou, à la praline.
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Et celui de ma voisine Clémentine, macaron géant caramel-pommes.
Il semblerait (mais peut-être m’a-t-on menti) qu’il n’y avait pas que de la nourriture par là-bas, mais aussi des personnes de chair et de gelée de groseilles sang.

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Une équipe japonaise est venue nous présenter ses créations et distribuer quelques goodies.
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Sarah et son jardin de tête vu de côté (qu’elle était jolie).
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Chloé en noir et violet (la perfection donc) et ma princesse Clafou dont je suis définitivement fan.
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Ma voisine Clémentine. C’est agréable de voir un peu de simplicité dans une TP, moitié mori, moitié loli, totalement adorable.
Comme la lumière était assez mauvaise, nous sommes aussi allées faire des photos dans les toilettes. 

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Sorcière Pom et princesse Clafou.

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S-Hide chan et Antonio Mila.
                                
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La belle tenue immaculée de Sandra.

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Tiya et Zoé being gorgeous.

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Kikoo.
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Pour cette tea-party, je voulais porter ma Stained Glass noire, en jouant le plus possible sur le thème de la poupée. J’ai donc testé (roulements de tambour) le BONNET (*cris de stupeur dans l’assistance*). Le résultat n’a pas été très probant dans mon entourage proche (n’est-ce pas, Ohm sans pitié), le bonnet est un sujet qui divise !

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Je ferme les yeux mais la photo n’est pas floue, c’est ce qui compte.
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(En plus des pièces Baby et Alice, je porte un bonnet et un boléro de plumes Cute Lou, créatrice dont je suis définitivement tombée amoureuse).

Il nous a fallu ensuite nous rediriger vers la salle principale pour le vote des meilleures coordinations, j’ai continué à photographier quelques tenues malgré ma batterie qui montrait des signes de faiblesse de plus en plus criants et la lumière orangée qui ne rendait pas mes réglages faciles. Je n’ai pas réussi à prendre toutes les coordinations, mais j’ai essayé de faire mieux que l’année dernière…

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Chloé (on se rendrait presque compte qu’elle porte du noir et du violet) et Miyu.

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Suika et Emmy, toutes belles.
                 
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J’aime les regards de ceux qui me regardent.
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Sam et Megumi.
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Sarah a décidé de troller la majeure partie de mes photos, j’ai un magnifique dossier à son nom maintenant.
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Pom et Sam, les deux gagnantes de la meilleure coordination. Elles méritent amplement leur place, félicitations à toutes les deux !
Je suis définitivement malchanceuse pour ces événements, je n’ai rien gagné du tout à la tombola malgré un beau numéro de ticket, mais qu’importe ! Je me suis vraiment bien amusée et je garderai de ce samedi un très chouette souvenir.
Transparent White Star