mercredi 29 mai 2013

XCVIII


Je suis allée à Versailles samedi dernier, et je n’ai toujours pas trouvé le temps et l’énergie de partager mes quelques photos (qui, cela dit, sont loin d’être des plus intéressantes. Mais bon). Je me couche le soir vers 22 heures 30 mais je reste épuisée, toujours inquiète, toujours tendue…

Ce soir, je vais au Louvre avec l’Ohm. J’ai envie d’avoir sous les yeux la vie de Marie de Médicis, comme j’ai lu il y a peu sa biographie par Simone Bertière (que je recommande, d’ailleurs. Ses écrits me semblent, outre fort bien documentés, plutôt objectifs, et son style est agréable pour une inculte de l'histoire comme moi). La reine avait commandé une série de tableaux à Rubens, allégories des moments clefs de sa vie, souvent embellis… et de façon magistrale.

Henri IV reçoit le portrait de la reine et se laisse désarmer par l'Amour
La reine s'enfuit du château de Blois
Les vingt-quatre tableaux du Cycle peuvent se voir ici, je les regarde amoureusement en attendant de m’extasier convenablement devant dans la galerie Médicis.

On ira voir aussi le premier volet de Shokuzai, film adapté d’un drama sorti l’an passé (que je n’ai pas vu), mais dont le scénario me botte bien. J’ai une certaine attirance pour les traumatismes de l’enfance et les broderies autour de la mémoire, alors pourquoi pas ?


(Je serai en vacances la semaine prochaine, je vais essayer d’en profiter pour finir les nombreux brouillons que j’ai ici.)

mercredi 22 mai 2013

XCVII

« Ce fut là où je démêlai sensiblement dans la pureté de l’air où je me trouvais, la véritable cause du changement de mon humeur, et du retour de cette paix intérieure que j’avais perdue depuis si longtemps. En effet, c’est une impression générale qu’éprouvent tous les hommes, quoiqu’ils ne l’observent pas tous, que sur les hautes montagnes où l’air est pur et subtil, on se sent plus de facilité dans la respiration, plus de légèreté dans le corps, plus de sérénité dans l’esprit, les plaisirs y sont moins ardents, les passions plus modérées. Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent, je ne sais quelle volupté tranquille qui n’a rien d'âcre et de sensuel. Il semble qu’en s’élevant au-dessus du séjour des hommes on y laisse tous les sentiments bas et terrestres, et qu’à mesure qu’on approche des régions éthérées l’âme contracte quelque chose de leur inaltérable pureté. On y est grave sans mélancolie, paisible sans indolence, content d’être et de penser : tous les désirs trop vifs s’émoussent ; ils perdent cette pointe aiguë qui les rend douloureux, ils ne laissent au fond du cœur qu’une émotion légère et douce, et c’est ainsi qu’un heureux climat fait servir à la félicité de l’homme les passions qui font ailleurs son tourment. Je doute qu’aucune agitation violente, aucune maladie de vapeurs pût tenir contre un pareil séjour prolongé, et je suis surpris que des bains de l’air salutaire et bienfaisant des montagnes ne soient pas un des grands remèdes de la médecine et de la morale.

Qui non palazzi, non teatro o loggia,
Ma’n lor vece un’ abete, un faggio, un pino
Trà l’erba verde e’l bel monte vicino
Levan di terra al Ciel nostr’ intelletto.*

Supposez les impressions réunies de ce que je viens de vous décrire, et vous aurez quelques idée de la situation délicieuse où je me trouvais. Imaginez la variété, la grandeur, la beauté de mille étonnants spectacles ; le plaisir de ne voir autour de soi que des objets tout nouveaux, des oiseaux étranges, des plantes bizarres et inconnues, d’observer en quelque sorte une autre nature, et de se trouver dans un nouveau monde. Tout cela fait aux yeux un mélange inexprimable dont le charme augmente encore par la subtilité de l’air qui rend les couleurs plus vives, les traits plus marqués, rapproche tous les points de vue ; les distances paraissant moindres que dans les plaines, où l’épaisseur de l’air couvre la terre d'un voile, l’horizon présente aux yeux plus d’objets qu’il semble n’en pouvoir contenir : enfin, le spectacle a je ne sais quoi de magique, de surnaturel qui ravit l’esprit et les sens ; on oublie tout, on s’oublie soi-même, on ne sait plus où l’on est. »

Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, première partie, lettre XXIII.

*Au lieu des palais, des pavillons, des théâtres, les chênes, les noirs sapins, les hêtres s'élancent de l'herbe au sommet des monts et semblent élever au ciel avec leurs têtes les yeux et l’esprit des mortels.
Pétrarque, Gloriosa columna, in cui s’appogia.

dimanche 19 mai 2013

XCVI ~ Black and White

Black Doll
Outfit rundown : cutsew Inowa, chaussettes Milk, RHS An-tai-na, jupe et headress faits main par des amies. 

Black and White maiden
Outfit rundown : robe Atelier Pierrot, blouse Baby, cardigan Jesus Diamante, broche Angelic Pretty, chaussures Bodyline, chapeau et collants H&M.

White Spirit (...)
Outfit rundown : robe et chaussettes Baby, croix Metamo, blouse (qui est en fait une robe) Gunne Sax, chaussures New Look, couronne de fleurs et faux-ongles faits mains. 

Faux-ongles.
L'inspiration pour la dernière tenue m'est en partie venue de cette photo de Fruits. Je suis en pleine nostalgie des années 1990/début 2000 en ce moment. Encore.

XCV ~ Ce message est inutile

Mais n’allez pas croire que les autres ne le sont pas.

Je suis en pleine période d'économies pour mon voyage à Tôkyô (heureux soupir). Je suis assez contente de moi, grand panier percé devant l'Éternel, car pour le moment j’ai réussi à dominer pas mal de mes pulsions d’acheteuse compulsive.
Pour fêter ça, j’ai dépensé quelques sous.

Comme j’ai reçu tous mes colis en l’espace de deux jours, je me sens envahie d’un sentiment de douce satiété, alors j’ai pris plein de photos que je vais poster ici car, j’en ai déjà parlé, je suis le tyran de ces lieux.

Tout d’abord, ce n’est pas un achat, mais quand nous sommes partis en vacances l’Ohm a émis le souhait de coudre un petit peu, histoire de continuer à s’entraîner. Alors il m’a fait quelques babioles au coin du feu.

Une paire de nœuds et un ras-du-cou de tissu. Ils comportent quelques défauts, mais quand je pense à la rapidité à laquelle il les a confectionnés et au fait qu’il n'avait jamais touché une aiguille avant septembre dernier, je suis positivement impressionnée. 

J’ai découvert une marque d’autocollants japonaise qui comporte pléthore de modèles adorables. Je n’ai que peu renouvelé mes stocks de papeterie depuis la faculté, je pense faire pas mal de razzias chez Booklatte. Si ça vous intéresse, tapez Booklatte sur Ebay ou Etsy, et osez me dire que vous avez réussi à résister (oui, c'est un défi)(si vous êtes insensibles à la papeterie, ce n’est pas la peine de le relever).

La Thé Box de mai est dédiée aux thés japonais. Pour une fois je n’ai pas tout bu en vingt-quatre heures, mais ça ne veut pas dire que je n’aime rien, loin de là ! Je ferai sans doute une review de mes coups de cœur sur Oh it's tea time.

Javais pas mal abandonné la lecture de mangas ces dernières années, et puis j’ai pris une claque. je vais recopier ce que m’en a dit Rehem : « C’est agréable de lire un manga destiné à un public féminin dont la fin ne soit pas une avalanche de guimauve. Ce n’est pas tragique pour autant, c’est simplement la vie, et si cette histoire avait dû se dérouler dans le monde réel, elle se serait sans doute dénouée comme ça ». En plus, les dessins sont superbes. Ai Yazawa, quoi. Maintenant, il faut que je me mette à Gokinjo (même si, forcément, je sais à peu près comment la relation entre Mikako et Tsutomu finira).
Je suis toujours contente de lire de bons mangas. C’est un média qui est tellement méprisé, par snobisme ou ignorance, sinon les deux. Je me souviendrai longtemps du visage médusé de mes collègues lorsque je leur ai dit qu’il était possible de combiner diplôme de philosophie, lecture de mangas et jeux-vidéo. Mon amour du Japon est depuis quelque temps un argument en faveur de mon immaturité, d’ailleurs. Si je me décide à reprendre mes études, quelle joie ce sera d’être enfin, pour la première fois de ma vie, parmi les plus âgés de ma promotion. 
Mais je dis vague.

J’avais déjà parlé ici du PV des dix ans de la marque Majolica Majorca. Je fus faible et j’ai acheté la palette créée pour l’occasion. Préparez-vous à une critique dithyrambique ces prochains jours, car je suis emballée.

Un mug et un casque avec des roses de chez Swimmer. Le son est assez bon, j’en ai été surprise ! Je ne suis pas très exigeante sur la qualité sonore de ce que j’écoute dans les transports, comme de toute façon le bruit du métro ou des passants me gâche déjà les morceaux (pour autant je refuse d'investir dans un casque qui me séparerait entièrement du monde extérieur, je suis un peu paranoïaque et je craindrais trop de rater une alerte à la bombe ou quelque chose comme ça… à chacun ses phobies, j’imagine), dès lors j’avais cédé au design plus qu’à la promesse d’une écoute exceptionnelle. Autant dire que pour 1500 yens, c’est un bon investissement ! Les basses sont certes un peu trop présentes à mon goût, mais je pense que ce problème peut se régler directement sur mon I-thing. Et, ce qui m’a vraiment fait plaisir, le son du piano est très pur à travers ce casque. 

 Les chaussettes Masquerade Theater d’AatP et l'artbook Velour de Kira Imai.

Des babioles régressives. Si comme moi vous aviez neuf ou dix ans à la fin des années 1990, vous avez certainement porté de ces colliers en plastiques hideux qui envahirent les cours de récréation pendant quelques mois. Je suis faible et nostalgique, alors lorsque j’ai vu que Paris Kids en vendait, j’en ai acheté un. 
Quant aux oreilles de chat… Bon. Je n’ai aucun argument en ma faveur. Mais, c’est si mignon…

Un challenge pour l’Ohm ! Je le lui ai offert en guise de pochette, à moitié pour rire, à moitié en prévision de son cadeau d’anniversaire. Il s’habille d’une élégance sobre, alors j’ai vraiment hâte de voir comment il se débrouillera pour le coordonner. En tout cas, il a eu l’air content, et a demandé à ce que le prochain soit noir et bleu. Il a tout compris.

GLB 47 et disque Kawaii Classic. Bien.
~ Les derniers GLB que j’ai eus sous la main, soit le 45 et le 47, m’ont bien plus emballée que les numéros qui tournaient autour du 30. En même temps, je me sens plus proche du virage « peinture sur pattes » de ces dernières années que du pastel à outrance de l’année 2010. Mais bon. Je n’arrive pas à y retrouver mon lolita pour autant. 
~ J’ai gardé le plus long pour la fin. Kawaii Classic, ou la reprise de morceaux de musique classique (surprenant)  à la sauce mannequins lolita.
Quand j’ai entendu parler de ces CD (il en existe deux, gothic classic et cute classic, je vous laisse le soin de deviner sur lequel j’ai jeté mon dévolu), j’ai été tellement dubitative que j’ai voulu m’en procurer un. Les CDs ont été décrits pas leurs créateurs comme « quelque chose à écouter en prenant le thé », ce qui acheva de me hérisser le poil. J’ai plus qu’horreur de ce cliché de la lolita qui boit son thé en écoutant de la musique classique. 
Techniquement, c’est bien, aucun doute là-dessus. Ils ne sont pas contenté d’obscurs musiciens de seconde zone, ainsi le Boléro de Ravel, morceau n°4, est interprété par l’orchestre national de France. Pourtant, ce même Boléro ne dure qu’à peine plus de cinq minutes… ce qui est frustrant.
Ce disque est une ébauche. On a un extrait du Boléro, un mouvement de la Sonate au clair de lune, un bout d'une saison des Quatre saisons. Je pense qu’il peut être une bonne initiation, il brasse suffisamment de genres et d’époques (Bach, Vivaldi, Saint-Saëns, Tchaikovsky…) pour qu’un néophyte repère ce qui pourrait lui plaire. Je l’offrirais volontiers aux petites filles que je garde. Mais je ne fais définitivement pas partie du public visé. 
Et puis, je me doutais de la teneur de l'album, mais alors j’en ai assez d'entendre toujours les mêmes choses (oui, c’est de ma faute pour cette fois-ci, mais…). La Valse des fleurs me donne de l’urticaire, même chose pour le thème principal du Lac des Cygnes. Qui n’a pas soupiré en entendant les Quatre Saisons comme musique d’attente ? Le problème de ces morceaux sur-utilisés, c'est qu’il faut maintenant une interprétation extraordinaire pour les sortir du carcan où l'usage abusif les a enfermés, ce qui n’est clairement pas le cas ici.  Tout y est convenu, à la réflexion, et assez superficiel. 

Du coup, le thème principal du Lac des Cygnes, morceau n°6, m’a donné envie d'en réécouter mon passage préféré. 



Cet hiver, à Biarritz, j’ai entendu une version encore meilleure que celle-ci, mais comme j’étais malade je n’ai pas fait attention aux interprètes… Tant pis.

mercredi 15 mai 2013

XCIV

Le nouveau thème bimestriel d'EGL France est « tenues d'été », ce qui me trotte dans la tête. J'aimerais bien proposer quelque chose, et avec du noir. Ce n'est pas vraiment une couleur que l'on associe avec la chaleur estivale, mais je pense que l'on peut porter des choses adorables et de couleur sombre, en été.




Des pois avec la Angelica Onepiece de Mary Magdalene, des fruits avec la Cute Cherry d'Emikyu, du vichy avec la Gingham Shoulder Ribbon Jumperskirt d'Angelic Pretty et des fleurs avec la superbe Cardinal Rose Jumperskirt d'Inowa. Voilà les motifs que j'associe à l'été…
Et puis il y a les sundresses… Je rêve d'une sundress Moitié. Et d'une Karami de Baby. Mais il me faut économiser… J'ai déjà trop dépensé ce mois-ci, en payant les frais de port de mes emplettes From Japan du mois dernier, et puis pour ça, aussi.


Un sweat God Save the Lolita by Novala Takemoto. Autant dire que j'ai l'impression d'avoir entre les mains un petit morceau d'histoire lolita. Le texte dit : God save the Lolita, We mean it Rococo, There is no future in Japon's dreams, We love my queen, God sale. Le japonglais dans toute sa splendeur, mais on perçoit la saveur du message…

dimanche 12 mai 2013

XCIII ~ C(h)ampagne


Je suis rentrée de vacances en début de soirée. Même si le bus bondé m'a rappelé brusquement ce que je n'aimais pas à Paris, à peine étais-je descendue du train que j'étais prête à croire qu'elle m'avait manqué. Ville fourbe que j'honnis autant que j'adore. 



Nous n'avons pas toujours eu un franc soleil, mais qu'importe : il faisait doux, et l'air était suffisamment sec pour que la terre ne soit pas trop boueuse. Les longues heures de marche furent salutaires (parce que oui, quand on habite à trois kilomètres du supermarché le plus proche, il faut beaucoup marcher).

La Marne. Je prends la même photo à chaque fois, mais…
Les vignes poussent !
Un barrage forme un joli lac à côté de la rivière, où se retrouvent pêcheurs et flâneurs.


J'ai tenté de photographier les braises dans la cheminée. Le résultat est… particulier, dirons-nous.
Alfred le cygne.

Un village qui fait presque face au nôtre.

Pour les nuages…
Il y avait quelques moutons, alors je les ai immortalisés pour Muriel.

Parmi les hauts faits de ce voyage, le passage d'une biche à une dizaine de mètres de nous, qui, surgie d'un fourré, nous a fixés quelques secondes avant de s'enfuir en bondissant. Je n'en avais jamais vu d'aussi près.

mardi 7 mai 2013

XCII ~ Supporte le poids de ton néant et embrasse l'éternité d'un regard.

The court of Versailles is judging you. Oui, ça n'a pas grand chose à voir avec ce qui va suivre,
mais ça fait des semaines que j'essaie de caser ce gif ici, alors chut.
~~~ 

Je ne sais pas si j'en ai déjà parlé par ici, mais je suis folle de miniatures. Je ne les collectionne pas vraiment, mais je passe pas mal de temps à rechercher des images d'objets plus ou moins courants en modèle réduit. Plus qu'investir dedans, ce serait plutôt les fabriquer qui me plairait, mais comme je manque de temps et de patience je regarde faute de créer. 
Nunu's house, collectif de passionnés japonais, est mon site préféré en la matière. Ils arrivent à sculpter des objets plus que réalistes parfois à peine plus gros qu'une tête d'épingle. Leur boîte de chocolats en est un exemple assez impressionnant, à mon sens.

Parcourir leur blog m'a donné envie de m'amuser avec babioles que j'ai sauvées de mon déménagement, il y a cinq ans. J'ai recréé l'ambiance d'une tea-party, d'une dînette d'enfant, et j'y ai mêlé des fragments de la vie d'adulte, à taille réelle. 



La scène miniature est principalement faite de jouets, de meubles de poupées, et de fèves. Derrière la table j'ai placé ma mignonnette de Chambord, la meilleure liqueur du monde (son nom complet est Chambord Liqueur Royale de France, rien que ça). J'espère avoir le temps de me consacrer un jour à l'œnologie et à d'autres dégustations d'alcools. Lorsque j'aurais atteint la quarantaine, j'aimerais être le genre de personnes que l'on invite avec le secret espoir qu'elle apporte quelque liqueur grave et délicate, que l'on dégusterait à la lueur des bougies, le regard fier de celui qui est dans la force de l'âge, et qui s'abandonne avec mélancolie à la contemplation du temps passé et à venir. On lirait Platon et Russell, et les vapeurs des spiritueux seraient juste assez fortes pour aiguiser nos esprits dans une saine et brumeuse intelligence. 
Et, bien sûr, j'aurai mon tailleur Chanel. Comment imaginer mes quarante ans sans tailleur Chanel.

J'ai hâte de pouvoir me mettre plus sérieusement à la photographie, aussi. Voir Aliénor il y a quelques jours et une discussion que j'ai eue sur le sujet avec Milena m'ont donné envie de m'y essayer un peu. Je devrais avoir une belle bête entre les mains pour cet été, en attendant je me résigne à utiliser mon I-thing le mieux possible, même si ça reste un peu limité. J'ai vu qu'il existait divers types de filtres pour ce genre d'appareils, peut-être essaierai-je de m'en procurer pour tromper ma faim avec… J'ai aussi ressorti mon vieux Polaroïd d'entre les morts (il remercie fortement Aliénor, d'ailleurs), même si ce que je souhaite faire avec n'a rien à voir avec ce que je voudrais expérimenter si je réussis à me procurer la bête en question. Bon, tout ceci a d'abord pour but de me divertir, mon but n'est pas de devenir photographe mais de faire de chouettes photos. Et à mon sens, il y a un monde entre les deux.

Pora-kun !
~~~ 

Je pars en Champagne demain, j'ai terriblement hâte. J'ai des robes blanches à foison cette année pour la campagne, ça va être sympathique… et curieux à la fois.  

lundi 6 mai 2013

Random poupee girl appreciation V

Graduation Trip Event. Oui, ça date.

Cherry Blossom Event, ça date un peu moins.


J'ai la même robe qu'Eliza Doolittle… Joie !
Rien à voir avec le reste, mais il y a du violet pâle, alors…

J'ai réussi à avoir, grâce à Yun, la robe Pupe de mes rêves pour une bouchée de pain. Il ne reste qu'à trouver de quoi l'accessoiriser un peu… Je passe bien moins de temps à y jouer ces dernières semaines, mais je pense que j'aurai de belles choses à porter pour le Bride Event de juin !
Transparent White Star